J’irai droit
au but.
Ceci est mon
dernier billet de blogue pour La vie est une montagne.
Il y a un an
presque jour pour jour, j’ai commencé à écrire, la tête pleine d’idées. Mon
rythme de publication a été des plus inégaux. J’ai été tantôt impossible à
suivre tant je publiais à un rythme effrené, tantôt étrangement silencieuse.
Voilà. J’avais
bien des choses dans la tête qui devaient être mises par écrit et que j’avais
envie de partager.
Là, je sens
que j’ai fait le tour de la question. Je ne ressens plus cette envie d’écrire.
Ça ne veut pas dire que ça ne reviendra jamais, mais j’ai fini avec ce blogue. Quelqu’un
m’a dit un jour « À un moment donné, dans la vie, faut arrêter de faire
les choses qu’on n’a pas envie de faire ». Je ne parle pas des obligations
de tous les jours, mais bien des choses qu’on entreprend avec enthousiasme et
qu’avec le temps on se sent parfois obligés de poursuivre, simplement parce qu’on
a commencé, et ce, même si on se rend compte que l’enthousiasme n’y est plus. Je
ne vois pas de raison valable de poursuivre mon écriture alors que je n’ai rien
à dire et que je n’ai pas envie d’écrire. Le résultat serait faux et
complètement inintéressant.
J’aime bien
les choses qui meurent franchement. Je préfère mettre la hache dedans que de laisser
ces écrits mourir à petit feu.
Merci de m’avoir
lue et de m’avoir encouragée à poursuivre. Vous pouvez avoir l’assurance que tout
ce que j’ai écrit au cours de cette dernière année, je l’ai écrit par plaisir
et par nécessité, et avec beaucoup d’amour.
Je ne
disparais pas, hein. Si vous me cherchez, vous savez où me trouver!
Et puis n'allez pas croire que je m'éteins! Au contraire! Je fais de la place pour ce qui naît!
Et puis n'allez pas croire que je m'éteins! Au contraire! Je fais de la place pour ce qui naît!
Sophie
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